Talampaya et Ischigualasto, patrimoines de l’humanité

Aujourd’hui direction la vallée de la Lune mais en faisant d’abord un stop au parc Talampaya, lui aussi classé patrimoine mondial de l’humanité avec ses magnifiques « formations rocheuses ». Encore et toujours nous sommes confrontés au fait, en tant qu’étrangers, de payer deux à trois fois plus cher le ticket d’entrée que les Argentins… Cela met Lionel en rogne, d’autant que pas un guide, pas un membre de l’équipe d’accueil ne parle anglais, aucune brochure, ne serait-ce que quelques mots. C’est dur à avaler. Mais les paysages restent magnifiques. Sur le chemin qui nous mène au deuxième parc, Ischigualasto, nous prenons en stop deux cyclistes uruguayens, Silvina et Pablo. Ils sont tous les deux enseignants, en physique et biologie (ils nous font penser à Jean et Anne!).  C’est dans la vallée de la Lune que l’on a retrouvé les plus anciennes traces de dinosaures… Une fois la visite faite ensemble, nous passerons avec eux une super soirée. Grande discussion sur l’enseignement dans leur pays. Visiblement les problèmes ne sont pas si différents d’un continent à l’autre: manque de moyens, élèves parfois difficiles à mobiliser, mouvement de grève de grande ampleur, etc… mais le plaisir d’enseigner semble rester intact. C’est la première fois que nous recevons à dîner dans le camping-car! Anna est ravie! Nous aussi.

Un matin de cette semaine, alors que nous prenions tranquillement notre petit-déjeuner, dehors et face à une chaîne de montagne, Anna s’interroge « comment fait-on une montagne? »… « Alors… », se lance Lionel…

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