Pas facile hein Lionel de manger sa pizza peinard quand un petit trublion yeute ta part en se disant que lui aussi il y gouterait bien à la « best pizza in Buenos Aires »… Cela fait rire les passants en tout cas de nous voir avec notre petit écureuil accroché dans mon dos! Car l’Argentin -tout comme l’Urugayen nous le constaterons quelques jours plus tard- ne trimballe pas ses enfants en poussette et rarement dans un porte-bébé. Il porte sa progéniture à bout de bras jusqu’à ce que celui-ci sache se débrouiller tout seul.

On ne choisit pas les trottoirs de Manille, de Paris ou d’Alger pour apprendre à marcher comme dirait Bernard (quiz musical: Bernard qui?) … Nils aura quant à lui choisi ceux de Buenos Aires, c’est la classe! Notre petit bonhomme est maintenant debout sur ses deux jambes et m’est avis, qu’elles n’ont pas fini de courir… Il monte, il descend, il grimpe, il va à gauche, à droite, tombe, se redresse, s’appuie sur le voisin, repart… C’est merveilleux.